tag:blogger.com,1999:blog-1392529278353389337.post561486744717351898..comments2023-08-29T05:56:22.999-07:00Comments on Le sel de la terre: «Je sais que je mourrai si j’arrache un jour un brin d’herbe» : Sohrab SepehriAbderrahmane Djelfaouihttp://www.blogger.com/profile/03825319513103216584noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-1392529278353389337.post-5243002245975294902014-05-27T08:31:05.748-07:002014-05-27T08:31:05.748-07:00Mon ami poète a retenu deux recueils , sans doute ...Mon ami poète a retenu deux recueils , sans doute ceux qui, le plus révèlent Sohrab Sepehri: -Le pas de l'eau - et -L'espace vert- ; titres évocateurs d'amour de la nature et du mot. Artiste-artisan, troubadour égaré sur les sentiers et les chemins vierges du simplement et sereinement beau.<br />"je sais que je mourrais si j'arrachais un jour un brin d'herbe" dit-il, mais n'est-ce pas ainsi que humblement, modestement , Sohrab "gravit l'échelle mystique et atteint le toit du monde du Malakut" ?? ... <br />"Il y avait moi, il y avait toi<br />une prière et un Mihrab" me plaisais-je à reprendre sur une photo du Mihrab de Sidi Belcacem fondateur de la zaouia d'ElHamel , convergence de mysticisme...<br />De tout et de rien , serein, le poète-peintre, le peintre poète murmure pudiquement l'amour de tout, l'amour de Dieu:<br /> Antar, Rumi, Hafez, et Khayyam , une poésie renouvelée et sublimée par Sohrab lui même révélé par Abderrahmane Djelfaoui dans un article qui mérite lecture norahttps://www.blogger.com/profile/06829568020859866022noreply@blogger.com