jeudi 28 mars 2019

NOTRE MARCHE DU VENDREDI 22 MARS (chapitre 2)










Une famille : trois générations














El Hirak est sur la chaussée, sur les trottoirs, les escaliers, les rambardes, les balcons sans compter le bruit des hélicos dans le ciel






Proue fendant le flot de l’Histoire juste au dessus des l’agence de la Gulf Bank….. Mais pas suffisante pour que nous fendions le flux dense des manifestants entassés à cet embranchement de la rue Didouche, de la rue Addoun qui mène à Taffouraf et de  l’avenue El Khattabi qui donne sur la Grande Poste…  Je ne sais combien de dizaines de milliers de personnes font ici du surplace en scandant chants et mots d’ordre…






Belles illuminant le ciel du vendredi et celui qui le suit….







Sur le trottoir le moins encombré de la rue Charras….





on souffle, on attend….
… que ça se fluidifie un peu pour continuer à marcher, avancer….






Mais sur et sous le large boulevard Amirouche ( et sa trémie) , parallèle aux rue Charras, Didouche et rue Pasteur plus haut donnant sur le tunnel des Facultés et la place Maurice Audin, les marcheurs sont momentanément  à l’arrêt… 






Des  dizaines de milliers de marcheurs sont tentés de revenir sur leurs pas et trouver d’autres chemins de traverse...





Alors que le ciel commence à s’éclaircir,des dizaines de milliers de marcheurs continuent d’arriver par la Rue Hassi Ben Bouali depuis la place du 1er Mai… A ce stade de la mi temps de la marche mon sentiment est que le million et demi de marcheurs a été dépassé de loin…



Abderrahmane Djelfaoui, texte et photographies

(à suivre)




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