matin le raisin mûrit
sur sa treille à l’ombre de petits nuages
blancs
balancés feuilles
et rumeurs d’oiseaux
filant
lointaines voix de femmes
douce laine d’amour
pour
leurs enfants
matin mûrit le raisin
ignorant l’infinitésimal monde
des fourmis sur la terre et même
cette plume grise de tourterelle tombée
là seule
sans air ni vent
ciment sous la treille
matin à ma fenêtre je vois mûrir
l’amour
matin le raisin mûrit
sur sa treille à l’ombre de petits nuages
blancs
balancés feuilles
et rumeurs d’oiseaux
filant
lointaines voix de femmes
douce laine d’amour
pour leurs enfants
matin mûrit le raisin
ignorant l’infinitésimal monde
des fourmis sur la terre et même
cette plume grise de tourterelle tombée
là seule
sans air ni vent
ciment sous la treille
matin à ma fenêtre je vois mûrir
doucement l’amour
Abderrahmane Djelfaoui, poème et photos
voir: @AbderrahmaneDjelfaouiMaPMoesie
voir: @AbderrahmaneDjelfaouiMaPMoesie
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