Cinq ans de vie pour une revue, un magazine, c’est très
certainement bien plus que cinq fois la vie d’un papillon. Tant le temps du monde est devenu volatile.
Virtuel ?...
Ces cinq années de vie et de parution sont pour
l’essentiel dues à la détermination de
sa directrice et, au fil des numéros généraux ou aux spéciaux de la publication,
le fait aussi des amies et amis - contributrices et contributeurs - dont à
l’occasion de cette « borne » des cinq, on se dit : peut être ne sont-ils pas / ne sommes nous
pas les derniers des Mohicans…
Ce qui valait bien « la messe » d’un Forum d’une
journée ( le 11 mai) et cela au plus grand profit des rencontres pour
d’étonnants récits de voyages d’écrivains, de romanciers, de traducteurs,
essayistes et poètes toujours défiant
les cours des fleuves et langues de nos
vies plurielles et de nos
cultures-continents…
Pour « raconter » (un peu) cela, j’ai laissé faire
le hasard de mon regard au 1/250è de seconde… (sauf pour la dernière photo) .Ce
qui m’a donné la possibilité de happer quelques dizaines d’images, par lesquelles
j’ai espoir de « suggérer »ce
que fut cette riche journée anniversaire…
*
Amin Khan à droite, philosophe,
économiste et poète, déjà édité à Alger par la SNED dans les années 80, auteur
du recueil poétique « Arabian Blues»
en 2012 , préfacé par René Depestre et Lauréat du Premier Prix « Nikos
Gatsos » Méditerranée de la poésie et le Prix François Copée de l’Académie
Française en 2012.
A sa gauche : Ikhlef
Abdecelem, traducteur (également photographe à ses heures), spécialiste de
l’œuvre de Malek Hadad qu’il a grandement évoqué durant son intervention.
*
La romancière et animatrice d’ateliers d’écriture Leila Hamoutène (« Le châle de Zeineb » est son
dernier roman paru à Alger en 2014) – qui entre autres Assia Djebbar et Taos et
Jean Amrouche aura brillament intervenu sur les maîtres de la généalogie de la
littérature algérienne.
Accompagnée (au centre) de Yacine SI Ahmed antropologue et journaliste spécialiste de la
Méditérannée ainsi qu’à ses cotés de Hamid
Nacer Khodja qui a contribué cette année à la publication d’un ouvrage
d’articles de critiques d’art de Tahar Djaout, de trois ouvrages sur Jean
Senac dont sa thèse de doctorat : « Jean Sénac critique algérien »….
*
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire